Paradoxalement, il fait plus froid ici à Mantoue qu'il ne faisait à Moscou la semaine dernière. Ce n'est pas tant une question de température, de l'ordre de 1 ou 2 degrés ici aussi, que d'humidité, qui rend le froid plus sensible.
Je récupère de trois jours de voyage. Travail durant la journée, avant de refaire le monde le soir autour d'une bouteille de Custoza ou de Soave avec les amis.
Je me suis procuré hier une anthologie des poésies d'Edoardo Sanguinetti, qui contient des choses très fortes.
J'ai trouvé également un livre d'Andrea Graziosi, L'URSS dal trionfo al degrado, qui constitue le deuxième tome, consacré à la période 1945-1991, d'une histoire de l'URSS à laquelle il a consacré une trentaine d'années. Il s'agit d'un gros volume de plus de 700 pages. J'en ai déjà lu quelques pages et la lecture s'annonce très intéressante. Je pense qu'il vaut la peine d'aborder l'histoire soviétique par le biais d'une historiographie autre que l'historiographie en langue française et en langue anglaise. On gagne en général à multiplier les points de vue de cette façon, ce que négligent beaucoup d'historiens, qui ne lisent que des ouvrages écrits ou traduits dans leur langue.
Je récupère de trois jours de voyage. Travail durant la journée, avant de refaire le monde le soir autour d'une bouteille de Custoza ou de Soave avec les amis.
Je me suis procuré hier une anthologie des poésies d'Edoardo Sanguinetti, qui contient des choses très fortes.
J'ai trouvé également un livre d'Andrea Graziosi, L'URSS dal trionfo al degrado, qui constitue le deuxième tome, consacré à la période 1945-1991, d'une histoire de l'URSS à laquelle il a consacré une trentaine d'années. Il s'agit d'un gros volume de plus de 700 pages. J'en ai déjà lu quelques pages et la lecture s'annonce très intéressante. Je pense qu'il vaut la peine d'aborder l'histoire soviétique par le biais d'une historiographie autre que l'historiographie en langue française et en langue anglaise. On gagne en général à multiplier les points de vue de cette façon, ce que négligent beaucoup d'historiens, qui ne lisent que des ouvrages écrits ou traduits dans leur langue.
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