Dans le numéro d'hommage à Ramuz de la NRF paru en juillet 1967, que je viens de trouver dans une librairie d'occasion, figure une lettre inédite de Jules Renard à Ramuz, dans laquelle le premier remercie le second d'un article élogieux qu'il a consacré à Ragotte.
J'y lis cette remarque, que je trouve très juste et très profonde: "Vous dites bien qu'il n'y a de vulgaire que l'esprit. Comment les choses le seraient-elles?"
J'y lis cette remarque, que je trouve très juste et très profonde: "Vous dites bien qu'il n'y a de vulgaire que l'esprit. Comment les choses le seraient-elles?"
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